Les études en astronomie ont besoin d’un ciel « noir », non pollué par les traces lumineuses laissées par les constellations de satellites de nouvelle génération. De même les radio-fréquences qu’elles utilisent gênent les radioastronomes dans leur travail sur l’espace lointain. Or les constellations de satellites vont devenir de plus en plus nombreuses.

Les délégations de 102 pays, à l’initiative du Chili (où se trouve l’Observatoire Austral Européen) et de l’Espagne, on convenu lors d’une réunion du CUPEEA (Comité des Utilisateurs Pacifiques de l’Espace Extra-Atmosphérique) de mettre à l’ordre du jour leurs inquiétudes lors du prochain comité en juin prochain.

Trouver des solutions afin de permettre à chacun de tirer profit de l’espace sans perturber le travail scientifique au sol est un des défis pour les 5 prochaines années.